Le 15 février 2019, 34 élèves du collège les Maillettes se sont rendus au Village de la Chimie, encadrés par Madame Calas, professeure de Sciences Physiques et Madame Jarrad, professeure d'Espagnol. Cette année, le Village de la Chimie se tenait dans les locaux de la Cité des Sciences et de l'Industrie, porte de la Villette à Paris. Après avoir fait le tour des stands et s'être renseignés auprès d'une entreprise de Chimie telle que l'Oréal, Bayer, Sol France,...et d'une école de Chimie ou d'une formation diplômante (Université Paris Est Créteil pour les licences, le Lycée Paul Eluard à Saint Denis (93) pour un BTS de Technicien en biologie médicale, les IUT de Créteil-Vitry, d'Orsay…), les élèves ont assisté à deux conférences.
La première s'intitulait « Des expériences pour rendre la chimie accessible au grand public » et était menée par un médiateur scientifique du Palais de la Découverte. Les élèves ont pu voir des expériences relatives au pH, à l'air liquide et aux plastiques qui « retiennent » l'eau. Non ce n'est pas de la magie mais de la Chimie ! La deuxième conférence portait sur « le tableau périodique des éléments de Mendeleiev: 150 ans de recherche, de l'hydrogène à l'Oganesson ». A travers cet exposé, les élèves ont été informés sur l'utilisation de tous les métaux de transition, tel que le titane(Ti) pour les prothèses, le nickel (Ni) pour les pièces de monnaie,….et auront compris que ce tableau est le résultat de recherches menées par des chimistes de plusieurs pays, tels que Lavoisier, Avogadro, Mendeleiev,... |
- Au début du spectacle, c’était un peu bizarre, un peu lent mais pas nul. Je me forgeais ma propre histoire. Il y avait des choses à voir et cela bougeait tout le temps. Ensuite, les deux dernières parties devenaient plus ennuyeuses et longues, il y a la fatigue aussi. Ce n’était pas déplaisant mais long et lent. Enfin, le spectacle avait du potentiel mais être debout et sans parole cela rend la pièce plus ennuyeuse. Donc elle était bien et ennuyeuse à la fois.
L’histoire est un peu incompréhensible il y a des boudas on ne sait pas pourquoi après y a une ville après des machines et un bonhomme qui sort de terre on sait pas pourquoi du coup on se perd très vite.
Les points négatifs
Les point négatifs c’est que c’est trop répétitif si personne joue au jeux sur le téléphone. L’histoire est très difficile a comprendre mes je pense aussi que c’est sa qui fais sont charme. Rester debout pendant un certain temps sa commence a faire mal surtout qu’ont ne tourne pas beaucoup. Par moments il se passe rien c’est vide il se passe rien et d’un coup il se passe trop de chose du coup on se perd. Critique rédigée par Jason, Sofiane, Lucie et Louane
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- J’ai à la fois bien aimé la pièce car cette pièce change de l’ordinaire et ça fusionne deux choses en un dont la technologie et le théâtre. Et Je n’ai pas trop aimé car on reste beaucoup trop longtemps debout.
- Je pense que la mise en scène était très bien faite : l’équipe qui était partout à la fois et la gestion des effets lumineux et musicaux. Après comme chaque pièce de théâtre, il y a des moments intéressants et d’autres moins sans être trop spéciaux. L’histoire erre à la recherche d’une vie meilleure.
Le public circule tout autour de la pièce de théâtre librement autour de cette installation et assiste à l’évolution de ce monde qui se développe au gré des action menées dans un jeux sur téléphone qui nous permet de prendre un peu le contrôle de l’histoire. C’est très originale car on mélange entre guillemets une choses ancienne avec du nouveaux (de le technologie). C’est à la fois drôle mystique en perpétuelle évolution. Les points positifs
C’est une pièce où il y a des performances artistiques qui ne nous laissent pas indiffèrents, des échanges au plateau de jeu évoquant un paysage désertique projeté dans un futur que nous savons déjà révolu tel que le petit bonhomme au début qui était perdu sur la mer. Il y a des représentations allégoriques du monde qui nous entoure, il y a de plus d’une centaine de marionnettes en latex d’une vingtaine de centimètre de haut animée par cinq manipulateurs. - Cette pièce de théâtre était bien dans un sens car c’était vraiment bien travaillé, on pouvait raconter l’histoire qu’on voulait. Mais d’un côté, ça peut être ennuyant car si tu détournais ton regard juste une seconde, tu avais perdu ton histoire et puis tu sais plus trop comment faire. Mon avis est que je n’ai pas vraiment aimé cette pièce mais j’ai beaucoup aimé le fait qu'il y avait des pauses, on pouvait aller voir les choses qu’ils avaient inventé et créé.
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Un samedi soir d'hiver, les élèves de 3e se sont rendus une nouvelle fois au Théâtre de Sénart pour un concert en live de jazz contemporain.
En amont de ce moment musical, ils ont pu rencontrer jeudi 25 janvier au collège le pianiste Bruno Angelini, l'un des quinze musiciens présents sur scène. Au cours de ce moment, des questions lui ont été posées afin de mieux comprendre son métier, sa passion et aussi son travail musical. Cela a permis d'aborder ce qu'est le jazz, ce genre musical si riche et si varié. |
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Samedi soir, donc, quinze musiciens sur scène pour exécuter "The Ellipse", oeuvre mélangeant l'improvisation, la recherche d'effets sonores et la mise en place d'un continuum musical basé sur le partage des sonorités de chaque musicien. Par petits groupes parfois, en tutti, le son produit par cet orchestre laisse imaginer des images qui auraient pu très bien prendre place dans des films. A chacun alors de se faire son cinéma !
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Etonnant. Surprenant. Imprévisible. Indiscible. Bref... La deuxième sortie au Théâtre National de Sénart avec la classe de 3e4 a révélé toute la finesse et la poésie que de petites personnes, des marionnettes et des objets divers peuvent nous raconter.
Dans une salle baignée de pénombre, un immense plateau ondulé de bois brut occupe l'espace central. Le spectateur d'un soir est alors invité à marcher autour et à s'arrêter de temps en temps pour voir ce qui s'y passe. Quatre "placeurs", dirigé par Ézéquiel GARCIA-ROMEU, vont recouvrir, installer, éparpiller, égréner, ... tout un tas d'objets et de formes en trois tableaux différents. Sur fond de société de consommation, de gaspillage, de vie moderne, ces petits personnages sont attachants parce qu'ils racontent avec beaucoup de sincérité mais tout en silence ce que les mots ne peuvent dire. |
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À la sortie, les avis sont partagés. D'abord parce que la forme de ce spectacle est étonnante. Ensuite parce qu'il n'y pas d'histoire imposée, c'est à nous de l'inventer. C'est certainement en cela toute la force qu'il y a : se laisser-aller sans compromis, accueillir chaque marionnette avec douceur pour la poser là, le temps d'une soirée.
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Localisation |
Collège les maillettes
264 rue des maillettes Directrice de la publication : G. TARISCA
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